Le blog du CBD
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Le CBD dans la lutte contre le glioblastome

Le glioblastome est le cancer cérébral dont souffrent le plus les adultes. Ce dernier est provoqué par une multiplication anormale des astrocytes qui sont des cellules du système nerveux central. Pour le traitement de cette affection, la chirurgie est une très bonne solution. Toutefois, elle peut être combinée à plusieurs thérapies. En France par exemple, et ce, chaque année, ce sont environ 2 400 nouveaux cas de glioblastome qui sont diagnostiqués. Comme mentionné précédemment, il est bien plus fréquent chez l'adulte et chez l'homme touchant donc moins les femmes. 70 % des cas qui sont diagnostiqués concernent des personnes âgées de 45 à 70 ans. Au diagnostic, l'âge moyen est quant à lui de 58 ans. Extrait du chanvre, le cannabidiol ou CBD pourrait aider à lutter contre le glioblastome. Cette molécule qui est très à la mode appartient à la famille des cannabinoïdes, n'a pas d'effet psychotrope et ne provoque pas la moindre dépendance. Mais, serait-elle réellement efficace pour lutter contre ce cancer dont le pronostic vital reste assez sombre à ce jour

Le glioblastome : quelle est cette maladie en réalité

Le cerveau est l'un des organes les plus importants de l'organisme. Plus besoin de le préciser. Cet organe est le véritable chef d'orchestre du corps humain et se charge de la coordination de la majorité de nos fonctions. Il intervient donc dans les fonctions vitales telles que le battement du cœur, la respiration, les mouvements musculaires et autres, dans les fonctions intellectuelles telles que l'apprentissage, la personnalité, la mémoire, la réflexion, les émotions et autres. Hormis ces deux fonctions, le cerveau intervient également dans la perception des 5 sens que sont le goût, le toucher, l'odorat, l'ouïe et la vue.

On retrouve dans le cerveau plusieurs cellules appelées neurones. Celles-ci sont chargées du traitement des informations. Les neurones sont entourés de cellules nourricières. Notons que les cellules gliales, elles aussi présentes dans le cerveau, représentent 90 % de sa composition. On distingue parmi ces dernières cellules, les astrocytes qui s'occupent notamment de la gestion des connexions intraneuronales. Généralement, c'est dans les hémisphères cérébraux que se développe le plus souvent la tumeur cérébrale. Elle peut également se développer dans la matière blanche et même sur tout le système nerveux central.

Quels sont les symptômes de la maladie

Les symptômes que nous allons voir ici ne sont pas réellement spécifiques de cette maladie. Ceux-ci vont varier en fonction de la taille de la tumeur et de sa localisation. Ceux-ci proviennent de l'accroissement de la pression intracrânienne causée par le développement de la tumeur à l'intérieur du cerveau. Voici, pour vous, les principaux symptômes de la tumeur. Nous avons donc des troubles affectant la parole, la mémoire, l'humeur, le comportement et la vision, les nausées et vomissements, les maux de tête, la faiblesse d'un membre ou plus rarement, des crises d'épilepsie.

Il ne faut que quelques jours à quelques semaines pour que ces différents symptômes puissent s'installer. Notons que leur intensité s'accroît progressivement avec le temps. Dans ce cas-là, il est très important que vous alliez consulter un médecin.

Le diagnostic du glioblastome : comment est-il établi

Il faut savoir que le rôle du médecin qui vous suit est très important pour le diagnostic de la maladie, ceci, parce que c'est à lui que vous vous adressez en premier. Lorsqu'il détectera des symptômes liés à une tumeur cérébrale, il devra se charger d'orienter le patient vers des médecins spécialistes. Il peut s'agir de radiologue, de neuro-oncologue, de neurochirurgien, de neurologue et autre. Pour diagnostiquer un glioblastome, il faudra plusieurs étapes.

Examens clinique et neurologique complets

Ici, le patient est soumis à des exercices musculaires. Il doit par exemple serrer la main ou avancer sur une ligne droite. On le soumet également à des tests de coordination de mouvement et d'équilibre. On procède aussi à une évaluation des sensibilités par le toucher, une réaction au chaud ou encore à une douleur légère et bien d'autres. On teste également les réflexes du patient et on lui fait passer un examen de la vue notamment du fond de l'œil et autres. Il passe aussi un test auditif et ensuite un test de langage, de lecture, de dessin ou d'écriture et pour finir, on lui fait passer un test de compréhension et de mémoire.

Avec l'examen physique, il est possible de diagnostiquer ou d'exclure les différentes pathologies susceptibles de provoquer ces symptômes. Pour détecter la présence d'une éventuelle inflammation, d'une modification de la formule sanguine ou d'un trouble organique, on procède aussi à une analyse sanguine.

Les examens d'imagerie

Lorsqu'on suspecte la présence d'une tumeur cérébrale, des examens d'imagerie sont très vite pratiqués suite aux précédents examens : clinique et neurologique. Grâce aux examens d'imagerie, il est possible d'obtenir une image assez précise du cerveau. On peut alors localiser et mesurer avec précision la tumeur. Pour y arriver, il faudra recourir à une IRM ou un scanner.

L'examen anatomopathologique

On réalise directement cet examen de laboratoire sur un échantillon. Précisons qu'il s'agit ici d'un échantillon de la tumeur prélevé suite à une ablation complète ou à une biopsie de celle-ci. C'est le seul examen capable d'affirmer la présence d'un glioblastome.

Le CBD et le glioblastome

Le cannabidiol est un composé de cannabis. On le considère comme un traitement efficace contre plusieurs pathologies telles que les maladies inflammatoires de l'intestin, la douleur, les migraines, la dépression et l'épilepsie. D'après de récentes études, le CBD serait également un traitement efficace contre le glioblastome. D'après les chercheurs, l'inhalation du cannabidiol permettrait de réduire la taille de la tumeur. Ceci, en réduisant le principal support de son microenvironnement.

En effet, le Dr Babak Baban qui est l'auteur de l'étude a affirmé qu'ils avaient eu à constater une véritable réduction de la taille du glioblastome ainsi qu'une modification de son environnement. D'après les chercheurs, l'inhalation du cannabidiol permettrait de garantir que le composé atteindra bel et bien le cerveau. En outre, tout comme les inhalateurs utilisés par les asthmatiques, la méthode d'administration pourrait être facilement utilisée par les sujets.

Le cannabidiol et la réduction de la taille du glioblastome

Les chercheurs, dans l'optique de l'étude, ont créé ce que l'on peut appeler " un modèle de glioblastome orthotopique " à partir de cellules de glioblastome humaines ayant subi des modifications. L'objectif de cette démarche était de présenter un modèle assez réaliste pour cette tumeur cérébrale qui est l'une des plus mortelles et des plus courantes. 8 jours après le début de l'expérience, la tumeur a pris place dans le cerveau des souris. Le neuvième jour, les souris ont été divisées en deux groupes. Alors que les souris du premier groupe inhalent du cannabidiol, celles du second recevaient un placebo. Après 7 jours de prise de CBD, les scientifiques ont remarqué que l'inhalation de la substance permettait non seulement de réduire la taille de la tumeur et d'en limiter la croissance, mais également de modifier son microenvironnement.

D'après les auteurs de l'étude, le CBD serait capable d'impacter l'écosystème de la tumeur, ceci, par une restauration des niveaux d'inflammations adéquats pour que le système immunitaire puisse combattre le glioblastome. Le cannabidiol est donc parvenu à diminuer la taille de la tumeur par une réduction du principal support de son microenvironnement. Les résultats issus de cette expérience ont alors permis de prouver que l'inhalation du CBD est un traitement novateur, efficace et d'appoint pour les sujets atteints du glioblastome.

L'inhalation du CBD comme traitement complémentaire à la chirurgie

Aujourd'hui, le traitement du glioblastome et de tumeurs cérébrales en général comprend une chirurgie. Celle-ci est suivie d'une radiothérapie et d'une chimiothérapie. D'après le Dr. Martin Rutkowski, la chirurgie n'est pas un véritable remède, elle représente un premier pas pour améliorer la qualité de vie et maximiser le pronostic. Il rappelle également la relation claire de cause à effet qui existe entre la durée de vie du patient qui souffre de la tumeur et la quantité de celle-ci pouvant être retirée chirurgicalement. L'inhalation du cannabidiol pourrait donc en effet représenter un traitement complémentaire pratique et efficace pour les personnes qui souffrent d'une tumeur cérébrale agressive.

L'entiereté du site web doit être considéré comme de l'information. Nous vous rappelons qu'avant de consommer des produits à base de cannabidiol vous devez consulter votre médecin afin d'obtenir son aval dans votre cas spécifique.
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